Les femmes sont-elles trop grosses ?
13 avril 09:47, par SevEn tout cas, nous (les meufs) continuons malgré tout à occuper notoirement l’esprit des hommes !
Bon, c’est vrai qu’il y a beaucoup plus de grosses (et de gros, s’iouplé !) que dans les années 50 et cela tient bien évidemment au changement total d’alimentation. Ce qui vient des "stètes" est toujours destructeur, à croire que cette excroissance européenne atteinte de pléonexie et de supériorité maladive n’a de passion que pour ce qui détruit !
On rappelera en passant qu’il est assez difficile de ne pas ramasser des mauvais kg quand on est une femme... système hormonal oblige. Et à partir de la ménopause, c’est pire. Soit on devient un petit (ou gros) pot à tabac soit on se déssèche façon la regrettée Hardy !
Côté mec, ce n’est pas mieux, les amis... matez donc à quoi ressemblent nos "zommes" d’aujourd’hui : soit il se gonflent en salle de muscu à coup de carnitine et autres saloperies, soit ils ressemblent à des haricots verts anémiques comme Bardella et ses petits mecs de la politique d’opérette.
Les cachalots féminins sont devenus tendance parce les EU (toujours eux !) ayant une population majoritairement obèse, n’ont plus d’autres solutions que celle de les flatter pour qu’ils durent un peu en tant que con-sommateurs(trices) de médocs et autres malbouffes.
Sortir des canons de la beauté tels qu’imposer par l’occident moderne demande un certain travail sur soi. La "modernitude" consiste à passer sa vie à essayer (sans y parvenir) de ressembler aux images bidonnées vendues par la merdiacratie qui survit depuis des lustres grâce au gras (!) pognon des "annonceurs" de produits frelatés et autres arnaques cosmético-diététiques.
La société du spectacle dans laquelle nous pataugeons tous peu ou prou nous tend un miroir panoptique qui nous renvoie l’image monstrueuse de nous-mêmes. L’esprit se trouve piégé dans un abime qui se contemple lui-même jusqu’à en crever.
L’époque est particulièrement laide en tout domaine, l’humain "doit être" dégénéré et diminué afin de justifier le projet mortifère de l’humain augmenté. La puissance de feu de la propagande fait des "merveilles" en ce sens. Les cachelots décomplexés et les anorexiques font tourner le système et ça rapporte beaucoup.
On vit une fin des temps assez fascinant. Comment tout cela finira ? Nul ne le sait, mais ce qui est sûr c’est que l’homo post moderne n’a jamais été aussi fascinés par toutes les chimères mises sur le Grand Marché Global...