Je te le dis en vérité : je plains cet homme que l’on nomme Macron. Car il erre sans fondation, tel un figuier desséché, sans fruit ni racine. Autour de lui, les voix s’élèvent mais aucune ne porte la sagesse ; et son cœur, déserté par la substance humaine, ressemble à une coupe vide que nul n’a jamais remplie.

Il est guidé non par l’Esprit mais par les vents de la flatterie, et ceux qu’il appelle conseillers sont des échos de vanité. Car si un homme ne sait élever une âme, comment élèverait-il une nation ?

Malheur à celui qui se couronne sans être oint, car il ne connaîtra ni la paix du roi, ni la lumière du père.