Que Patrick Henry - ce monstre parti faire du ski après la mort de l’enfant dont il connaissait les parents !? - soit guillotiné n’aurait été que justice, le meurtre d’un enfant méritant la peine de mort et devant être imprescriptible, quelles qu’en soient les raisons et/ou les circonstances !
C’est le crime des crimes par excellence, et Badinter qui lui a sauvé la vie - il fallait 8 voix pour la guillotine, il n’y en a eu que 7 - ne mérite certainement pas d’entrer au Panthéon, dont la devise étant "Aux grands hommes la Patrie reconnaissante", on se demande bien en quoi sauver la tête d’un immonde et bestial assassin d’enfant mériterait quelque honneur que ce soit...
Quant au cas de la gamine de 11 ans, qu’on retrouve pendue avec un foulard au pied de son lit, il est étonnant que personne ne pense au terrible """Jeu""" du foulard*** - touchant principalement un public d’enfants et d’adolescents de 4 à 20 ans... - contre lequel l’association APEAS agit depuis 2002 pour lutter contre ses accidents parfois mortels en informant les parents, les enfants et les enseignants.
Et par ailleurs faire le lien entre son harcèlement qui remonte à plus de 6 mois avant sa fin tragique paraît hasardeux, mais il faut bien que ses parents se raccrochent à quelque chose qui soit hors de la sphère familiale ou des fréquentations de leur enfant pour survivre à cette tragédie...
*** Le principe est simple :
1 Une hyperventilation forcée obtenue par quelques flexions rapides des jambes et de grandes inspirations.
2 Un blocage de la respiration, assorti d’une pression sur les carotides, voire d’une forte compression du sternum.
Le tout entraîne un évanouissement précédé de sensations de type hallucinatoire, et il est réputé avoir été très pratiqué pendant la période du confinement...