La meilleure solution pour résoudre ce que les acteurs politiques définissent comme problématique, c’est de déterminer à qui le problème profite toujours ; c’est souvent celui qui n’a aucun intérêt à voir disparaitre sa principale source de profit politique et médiatique.
Par exemple pour résoudre le problème de l’islamisme et de l’antisémitisme, il ne faut pas se centrer uniquement sur ceux qui sont désignés comme seuls responsables, mais sur ceux qui se désignent comme victime éternelles, en n’oubliant jamais de réclamer des avantages en privilèges et en nature à titre compensatoire.
Plus étrange encore, pour le cas de l’islamisme et de l’antisémitisme, non seulement ceux qui désignent les responsables et ceux qui désignent les victimes sont toujours les mêmes, mais le hasard est si taquin que les délateurs patentés et les victimes autoproclamées sont toujours sionistes.
Les sionistes sont comme des dentistes qui financent des confiseries et leurs campagnes promotionnelles, tout en dénonçant les caries.