Je n’ai jamais adhéré au féminisme, ni celui d’origine ni le néo. Ces femmes m’ont d’instinct mise mal à l’aise. En tant que femme moi-même, je connais par coeur notre capacité au pire. Cela tient simplement au phénomène d’imitation. Les féministes n’ont d’autre fantasme que celui d’être des "hommes comme les autres".
Les copies restent des copies, les imitations imitent toujours grossièrement. Voyez les copies de produits de luxe... qui ne remarque pas leurs finitions pourries et moches. Idem pour les féministes. Le terme lui-même est une pathologie...
La plupart des féministes sincères (il y en a !), ne s’est jamais intéressée au parcours de vie des féministes historiques. Rien que du côté Beauvoir, Fouks, Giroud, Veil, Badinter et consort, on a des parcours assez discutables en termes de supposées femmes libres. Toutes ont derrière ou à côté d’elles... un homme influent qu’elles admirent ! Libres, vraiment ?
Le risque qui nous pend au pif c’est que les mouvements de résistance (il y en a aussi !) anti féminisme délirant ne tournent à une autre forme de caricature : une femme médiatique façon "tuppeware"... on les voit déjà fort nombreuses vendre leurs gadgets de bonnes femmes sur Instagram ou en-ligne.
Les femmes en politique sont pires que les hommes, ces derniers étant déjà de fiéfés fumiers, mais il faut savoir qu’ une femme ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnait...
J’dis ça, j’dis rien...