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Les Emma Bovary d’aujourd’hui

Les féministes et les bovarystes d’aujourd’hui sont priées de ne pas cliquer sur cette démonstration culturelle jonchée d’expressions désobligeantes pour les dames, mais pas toutes (on en connaît des bien).

 

 

Les Bovary et les autres...

La leçon du Pr Soral

 






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22 Commentaires

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  • #3511033
    Le 24 mars à 22:51 par Alcid Oniriks
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    Si tu as compris Madame Bovary, alors tu as aussi compris que sa maladie est rigoureusement la même que celle de Don Quichotte ou de Julien Sorel, et qu’elle n’a rien de « sexué »... D’ailleurs, à la fin du roman de Flaubert, c’est Charles Bovary qui a été contaminé et chez qui se déclenche le mal... Croire que Madame Bovary parle des femmes est une erreur grossière, et d’ailleurs comment Flaubert aurait-il pu dire « Madame Bovary, c’est moi ! — D’après moi » si c’était le cas ?

     

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    • #3511617
      Le 26 mars à 05:09 par SOCRADE
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      Oui la cause profonde c’est l’exhaltation hystérique orientale judéochristique qui a pris le contrôle des âmes depuis 2000 ans sous deux formes :

      - la forme goy christique, celle de Don Quichotte et Bovary qui est une forme light de l’exhaltation qui envoie St Blandine aux lions

      - la forme matérialiste de la maison mère qui est l’exitation publicitaire continue.
      Tout ça pue le néant.

       
    • #3511882
      Le 26 mars à 14:45 par Liberal conservateur
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      @ SOCRADE

      Le génie de l’Occident se confond précisément avec celui du Christianisme. Ce n’est pas un hasard si c’est en Occident que le Christianisme s’est enraciné : il est l’achèvement de notre génie grec et aryen. Le Christianisme a largement participé à projeter nos nations à la tête de l’humanité toute entière (nos zancêtres Celtes ou Germains ne valaient sans cela pas plus que le moindre Zoulou ou Tartare tiersmondiste idolâtre en pagne). Et c’est précisément au fur et à mesure que nous nous déchristianisons, que nous disparaissons et nous banalisons.

      De ce point-de-vue, Marx et Nietzsche ne valent pas un sou de plus qu’Auguste Comte. Ce sont trois formes du même athéisme (ou plutôt anti-théisme). C’est une complaisance avec nos propres faiblesses. Nul n’est obligé d’être chrétien, mais balayer de la sorte du revers de la main 2000 ans de Christianisme fait précisément partie de cette "facilité moderne de l’esprit" que nous dénonçons.

      Quant à Madame Bovary, au-delà de toute complication, la simple fréquentation d’un curé de campagne de base lui eût enseigné les quelques éléments moraux qui l’eussent sortie d’affaire. A défaut de croire en Dieu, elle aurait au moins saisi la vanité des choses.

       
  • #3511048
    Le 24 mars à 23:30 par Eaza
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    Dans la vraie vie Emma aurait ruiné Charles dans son dos pour donner de l’argent a son amant maquereau . De plus dans la vraie vie une femme qui trompe son mari et qui le ruine

    N see suicide pas a l’arsenic, elle l’aurait plutôt fait bouffer a Charles . Mais Flaubert ne pouvait pas l’écrire sous peine de voir son livre interdit .

     

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  • #3511049
    Le 24 mars à 23:34 par Limi
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    Madame Bovary est une putain et surtout une connasse double d’une salope qui ruine son mari en le volant . Flaubert ne l’aimait certainement pas .

     

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  • #3511055
    Le 24 mars à 23:43 par Kal
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    Emma Bovary s’emmerde à mourir dans un monde bourgeois étriqué au XIXème siècle.

    Les féministes nous emmerdent à mourir dans un monde bourgeois étriqué au XXIème siècle !

     

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    • #3511130
      Le 25 mars à 07:15 par Bisimilaye
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      Excellent ! J’ai ri, merci bon résumé.

       
    • #3511275
      Le 25 mars à 11:56 par un bon mot pour la fin
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      Putain c’est recherché ton com... Sauf que si les féministes en chef sont des bourgeoises sur les plateaux de télé, salons littéraires de mes couilles, celles que tu vois dans la rue sont des prolos manipulées !
      Et les salopes, elles veulent l’égalité c’est-à-dire nous couper le zob et les couilles pour qu’on est plus qu’une foufoune comme elles !
      C’est pas drôle ça ?

       
    • #3511548
      Le 25 mars à 21:22 par Oxar
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      Tu n’as pas lu le livre car Emma Bovary s’emmerde à mourir, oui, mais dans la paysannerie de province et elle aspire au monde bourgeois français XIXème siècle, spécialement celui de Paris, qui était l’élite des élites de son temps, dominant toutes les autres élites dans le monde. Elle se suicide parce qu’elle échoue à faire partie de la bourgeoisie.

      Le monde bourgeois, qui est celui du pouvoir, n’a rien d’emmerdant, c’est tout le contraire : partout où il y a des enjeux de pouvoir il y a de l’action, du sang, des belles femmes aux culottes humides, des hormones mâles et de l’adrénaline.

      Mais au XXIe siècle, le monde n’est plus rien de bourgeois, il est celui du consommateur, c’est-à-dire celui du prolétaire accédant au supermarché, un monde qui a complètement oblitéré toutes les valeurs culturelles bourgeoises, elles-mêmes héritées de la noblesse.

      On vit aujourd’hui dans un monde intégralement prolétarisé. Les mêmes masses prolétaires qui se pressaient hier à la crémation festive d’une gamine portant malheur ou au lynchage d’un noir filent à Auchan tous les samedis pour remplir le caddie avec des merdes vues à la télé... et elles en retirent le même apaisement. Les débris de l’ancienne bourgeoisie copient aujourd’hui ce mode de vie prolétaire, en réalité il n’y a plus de classes sociales, et c’est pour ça qu’apparaissent de plus en plus d’invertis et de transsexuels.

       
    • #3511550
      Le 25 mars à 21:29 par One step beyond
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      Quand le cadre religieux et ses valeurs morales s’effondre, l’individu, homme ou femme se retrouve seul face à lui même, avec comme finalité : Rien.
      Mme Bovary n’est pas autre chose que la recherche du plaisir, de la satisfaction immédiate, de l’ego dont on voit aujourd’hui le prolongement dans la course au fric, au pouvoir, à tout prix et par n’importe quel moyen, voire et surtout, le plus vil comme un vulgaire Xavier Niel, un Macron, une mimi marchand, un Ferrand, un Bayrou, un mechancon, tant et tant d’autres.
      le XIX siècle post révolution, avec ses loges, ses escrocs, ses ambitieux, ses véreux, ses bordels, ses banquiers, sa bourgeoisie cupide, ses bovary, ouvre le chemin à nos XX et XXI, siècles qui battent les records du mensonge, de l’exploitation, de la fourberie, de l’égoïsme, des boucheries, de la bêtise la plus crasse.
      Tuer Dieu, reste l’homme…

       
  • #3511072
    Le 25 mars à 01:25 par Francois Desvignes
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    La République (satanique) a enseigné à la femme qu’elle était l’égal de l’homme et que l’Homme était l’égal de Dieu.

    Les femmes ont donc logiquement compris qu’élles étaient dieu et que partant, l’homme devait être à leur service, et pas seulement sexuel.

    Il faut bien faire attention à ce principe d’égalité inventé par le serpent au paradis d’Eden :

    D’une part :

    - Si l’Homme est l’égal de Dieu, l’Homme n’a plus à obéir à Dieu mais Dieu à obéir à l’Homme
    - et si la femme est au moins l’égal de l’Homme, la femme étant par ailleurs l’égal de Dieu est forcément supérieure à l’Homme.

    D’autre part :

    - Si l’Homme et la femme sont dieux à l’égal de Dieu
    - Outre que Dieu ne sert plus à rien
    - Chaque homme, chaque femme étant dieu
    - trouvera toujours au regard de sa propre déité qu’il donne toujours trop au prochain (simple humain) et qu’il n’en recoit jamais assez en retour (au regard de sa déité).

    C’est cela le complexe de Bovary :

    - l’amour de soi ( puisque je suis divin )
    - jusqu’au mépris de Dieu ( qui ne me sert donc à rien)
    - et la haine du prochain (qui est un concurrent inférieur et ingrat du fait de sa simple humanité comparé à mon inconmensurable déité)

    Le modèle républicain a donc été inventé par Satan au paradis d’Eden.

    Il en portera les fruits inexorables : la haine et la jalousie de chacun contre tous.

    C’est une société qui est tout, sauf libre, egale et fraternelle puisqu’elle est exactement l’inverse.

    Vous croyez que je suis bien intelligent et plein d’idées de vous raconter tout cela ?

    Pas du tout : je viens de vous faire la fiche de lecture de " La vie de Jesus Christ" de Saint Bonaventure, contemporain de Saint Thomas , XIII siècle.

    Dans son ouvrage il cite Saint Bernard (autre Docteur de l’Eglise) :

    "la femme n’est pas l’égal de l’homme car Adam a été créé avant Eve.

    La femme a été créée pour seconder l’homme et non l’inverse, l’homme pour la femme.

    Donc non seulement la femme n’est pas l’égal de l’homme mais encore moins, l’homme est l’inférieur de la femme"

    En fait, je soupçonne Flaubert de ne pas avoir lu Saint Bonaventure.
    Et c’est dommage car il aurait fait une meilleure psychanalyse de Charles.

    Voici donc ma conclusion dans le style "camembert" habituel :

    Chers Adams,
    merci de porter dignement les coronnes que Dieu vous a donnés car il ne vous les remplacera pas.

    Chères Eves,
    merci de prendre soin de vos ovaires car tout l’avenir de notre triste Humanité en dépend.

    Profond respect.

     

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    • #3511148
      Le 25 mars à 07:38 par MAD MAX
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      @françois desvignes, " la femme est l’avenir de l’homme" citation de Aragon, en 1961, et Jean Ferrat en a fait une chanson en 1975, et surtout le féminisme qui manipule les femmes, elles pensent ou croient se libérer du patriarcat, grâce à cette idéologie, arrivée dans les années 70,surtout en france, comme par hasard après mai68, et il est vrai que les femmes sont l’armée de réserve du capital, main d’oeuvre à bon marché et corvéable à merci, surtout dans le domaine de la santé, médecins généralistes, des banlieues ou des campagnes, l’enseignement, le commerce, et infirmières, et cela dure et persiste depuis 40 ans ou plus, qui sont, ces secteurs, et malheureusement et surtout la magistrature, pourcentage élevé, sont tous des bastions féminins que les hommes n’exercent plus depuis ces époques, car non rentables.

       
    • #3511149
      Le 25 mars à 07:40 par MAD MAX
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      @françois desvignes, petite précision, effet délétère au sujet des femmes qui sont dans le domaine de la magistrature, car elles sont laxistes.

       
    • #3511241
      Le 25 mars à 10:34 par miles davis
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      "la femme n’est pas l’égal de l’homme car Adam a été créé avant Eve.". Punaise, nous ne sommes pas sortie de l’auberge, que d’affirmations... c’est quoi tes sources ? La bible des sionistes ? Tu penses être un "élu", avec un égocentrisme digne d’un enfant de 5 ans, mais je te rassures tu n’es pas le seul, vous êtes nombreux à croire au père Noël...

       
    • #3511946
      Le 26 mars à 17:21 par Rectificateur
      Les Emma Bovary d’aujourd’hui

      @ miles Davis

      C’est toujours mieux que de croire que la vie est apparue parce qu’il a plu longtemps sur des rochers...

       
  • #3511082
    Le 25 mars à 03:43 par The blue horse
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    À l’époque où j’ai grandi, il fallait avoir lu tout Flaubert. Ce que j’ai fait. Cela m’a complètement démoralisé. Je n’ai jamais parlé de Flaubert à mes enfants, et si je devais leur en parler, je leur conseillerais de ne jamais le lire.

     

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  • #3511183
    Le 25 mars à 08:54 par In Judaism, satan is gode
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    Peau de zob... l’expression est incroyable.
    À quoi, Mesdames, vous sert-il d’aller voir ailleurs, alors qu’une de taille honnête vous attend à la maison ?
    Vous êtes polygames par nature, mais votre homme lui, ne partage pas.
    Certes, il lui est plus facile à lui, car plus raisonné, d’échapper à ce paradigme de l’illusion.
    C’est pour ça qu’il vous faut être deux dans la vie, aidées de votre homme qui vous recadrera dans vos rêveries.
    Sinon, tapinez et retrouvez-vous seules quand la vieillesse ou la jeune génération vous rattraperont.

     

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  • #3511237
    Le 25 mars à 10:31 par Sev
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    Je n’ai jamais adhéré au féminisme, ni celui d’origine ni le néo. Ces femmes m’ont d’instinct mise mal à l’aise. En tant que femme moi-même, je connais par coeur notre capacité au pire. Cela tient simplement au phénomène d’imitation. Les féministes n’ont d’autre fantasme que celui d’être des "hommes comme les autres".

    Les copies restent des copies, les imitations imitent toujours grossièrement. Voyez les copies de produits de luxe... qui ne remarque pas leurs finitions pourries et moches. Idem pour les féministes. Le terme lui-même est une pathologie...

    La plupart des féministes sincères (il y en a !), ne s’est jamais intéressée au parcours de vie des féministes historiques. Rien que du côté Beauvoir, Fouks, Giroud, Veil, Badinter et consort, on a des parcours assez discutables en termes de supposées femmes libres. Toutes ont derrière ou à côté d’elles... un homme influent qu’elles admirent ! Libres, vraiment ?

    Le risque qui nous pend au pif c’est que les mouvements de résistance (il y en a aussi !) anti féminisme délirant ne tournent à une autre forme de caricature : une femme médiatique façon "tuppeware"... on les voit déjà fort nombreuses vendre leurs gadgets de bonnes femmes sur Instagram ou en-ligne.

    Les femmes en politique sont pires que les hommes, ces derniers étant déjà de fiéfés fumiers, mais il faut savoir qu’ une femme ça ose tout, c’est à ça qu’on les reconnait...

    J’dis ça, j’dis rien...

     

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  • #3511393
    Le 25 mars à 14:55 par Ralf
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    Merci à E&R pour le partage

     

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  • #3511558
    Le 25 mars à 21:51 par Clavier noir
    Les Emma Bovary d’aujourd’hui

    la consommation des biens, des services et des personnes.
    qu’est-ce que les applications de "dating", si ce n’est faire ses courses de produits de consommation.

     

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