A l’armée, les wesh avaient souvent l’accent du cru où ils vivaient. Les conscrits du Nord parlaient comme les chtis et ceux d’Alsace étaient en mode "hop la". Normal, outre leurs "cousins", ils ne côtoyait souvent que des "de souche" issus des classes très populaires avec des accents provinciaux très marqués. Idem pour les wesh du Sud, croisés en dehors du service. A Paris, certains Algériens nés ici dans les années 60 s’exprimaient comme Arletty. Mais ça, c’était avant. De toute façon, même au "bled" beaucoup ne pipent que dalle à leur accent.