Si l’élection présidentielle de 2027 ressemble aux précédentes, nous aurons un Bardella, un Philippe et cela même si Asselineau ou Pierre de Villiers se présentaient.

Il faut bien comprendre que nos élections sont truquées avec finesse grâce à nos cleptocrates (Arnault, Niel, Pinault, Bouygues, Bolloré, Dassaut, Pigasse, Lagardère, Drahi,..) certes, mais eux aussi obéïssent à un commanditaire* !

Ce commanditaire mutualise son organisation au niveau mondial pour optimiser l’installation des pires tarés au pouvoir. Ainsi, CRF, Bilderberg, Trilatérale, Club de Rome, Bohemian Club, le Siècle... et WEF-Davos les sélectionnent comme dans un concours de Miss, un dîner de cons, en somme !

Ils doivent être photogéniques, mémoriser des fiches, mentir effrontément, incultes et surtout avoir une sexualité compliquée (déjà enregistrée sur vidéo) ! Les meilleurs profils combinent l’inventivité attractive des femmes avec la force créatrice des hommes. Bref, le pervers narcissique à défaut du mégalothymique sont invertis et dont l’empathie pour l’hétérosexuel est exactement égale à zéro.

Le scenario est fourni par MacKinsey (75,5 millions € en 2023 dans le budget de l’Elysée) qui s’inspire du plan général en 21 points du Comité des 300 (inclus les ploutocrates mentionnés supra) et s’adapte aux circonstances. Au sein de l’UE.RSS, ils sont supposés appliquer les GOPEs dans le détail.

Considérant, l’apathie surprenante des députés et des sénateurs qui ne voient pas l’intérêt d’une destitution pour préserver égoïstement leurs privilèges, il doit donc être très clair que si nous Français voulons sortir de cette dystopie il va falloir se remonter les manches pour se libérer légitimement de cette matrice satanique ! Eût égard aux résultats calamiteux des bonnets et autres gilets de couleurs, il va falloir penser global pour agir localement... Oublions Paris ! Oublions les élections... faisons simple, efficace, avec nos moyens disponibles et dans le respect de "nos" Lois, celles qui dictent le bons sens !

*Le commanditaire possède la moitié de la richesse mondiale qui est estimée à $231Trillions (estimation faite par le Crédit Suisse). Il se nomme Rothschild... encore lui !