Les urgences en faillite, c’est pour dégoûter de l’hôpital
19 mars 19:22, par Enki
La guerre ne viendra pas, ni ne vient de l’extérieur. Elle est dans nos murs dès à présent. Depuis de nombreuses années, gagnant du terrain chaque jour un peu plus par l’abandon du service public dans tous les domaines. L’ennemi est intérieur. En fait, ils harcèlent la population après l’avoír affaiblie physiquement par le C19,M et par des opérations psychologiques qui sapebt le moral. Tout est en place. Il ne leur reste plus qu’à fomenter des false flag, attentats et autres joyeusetés incriminant par la propagande les russes. Pousser la population à un ras le bol général au point qu’elle passe aux actes de sabotages pour les plus violents. Des années de séries Netflix ont préparé le mental des populations. Combien de coups de feu, de crimes, d’explosifs, d’actes infâmes le public a-t-il engrammé dans son inconscient ? Notamment, la jeunesse nourrie aux jeux vidéos et séries au narratif mafieux ? Ils ont réuni les conditions d’une possible guerre civile en laissant la situation pourrir les services publics notamment la sécurité étant à l’abandon ou en sous effectif. Quant aux procédures judiciaires, n’en parlons pas ... Le malaise est général. L’envoi d’un manuel de survie par le gouvernement ne présage rien de bon. Un climat de peur, de découragement est instauré. Rendre les russes responsables d’éventuels actes criminels sous faux drapeau afin de provoquer une guerre des gangs sur notre sol ? Les événements de ces dernières années le laisse présager. L’étau se resserre car l’État se retourne contre son ennemi de classe, le prolétariat dont il peut se passer. Mais il ne faut surtout pas que le peuple et les populations s’en rendent compte et fuyent la propagande. Il faut un ennemi extérieur afin d’invisibiliser l’ennemi intérieur et ses sbires.