Ce que les féministes ne veulent pas voir
15 mars 11:56, par SevIl faut admettre que si le "féminisme" des années 60 n’avait pas été inventé, il aurait été particulièrement difficile de dénoncer puis combattre l’attitude souvent violente de certains hommes envers les femmes.
Il faut aussi reconnaitre que beaucoup de femmes seules, avec ou sans enfant, arrivées à la 50taine se lamentent d’être seule et paumée. De mon point de vue, cela tient avant tout à l’absence de vie intérieure et cela concerne aussi les hommes.
La vie intérieure c’est la capacité à être en bonne relation avec soi, à avoir apprivoisé la solitude et se sentir bien quand même.
Le problème de l’homo modernus, hommes / femmes confondus, c’est d’être devenu des êtres vides. Par conséquent, la présence d’un(e) autre devient une quête quasi obsessionnelle. Les hommes "chassent" sur les sites de rencontre pour satisfaire leur besoin sexuel ou pour trouver une compagne. Les femmes y vont pour d’abord trouver un compagnon.
Le problème de solitude ne concerne pas uniquement les femmes, mais l’occidental progressiste arrivé en bout de piste d’un individualisme jouisseur qui leur a été vendu comme LA solution à toutes leurs frustrations. Et c’est effectivement efficace... mais sur une durée très courte ! A partir d’un certain âge, reviennent au galop les grandes Lois naturelles : reproduction, liens affectifs, confort rassurant de la famille, besoin ontologique de lien et d’affection...
La néoféministe se voit sur les RS où l’on observe son caractère caricatural, fragile, fumeux, bidon et même futile (les "influenceuses" de Dubaï pourraient même servir de "cas d’étude").
Je conclurai ce point de vue (forcément subjectif) en proposant, en même temps, l’hypothèse qu’il se produise une sorte de nouveau phénomène d’auto régulation. La population mondiale a explosé et cela pose forcément pas mal de problèmes. L’homéostasie, inhérent au Vivant, et permettant une régulation propice à la pérennité d’une espèce, ne se manifesterait-elle pas via ses "nouveaux comportements" (de + en + de femmes et d’hommes sans enfant et seuls) engendrant à terme un ralentissement notoire de la croissance démographique ? En clair, ne serait-ce pas aussi quelque part une "bonne chose" que l’émergence de ces femmes seules et sans enfant de plus en plus nombreuses ?
Je pose la question, hein ? ce n’est qu’une hypothèse !