« Les assassins islamistes du Levant » syrien, pilotés par Daesch en la personne du funeste agent atlantiste el-Joulani, ont pour mission de décimer la faction loyaliste / pro Bachar El Assad du pays : il s’agit de grand remplacer, par un sacrifice de masse, les tenants de l’ancien régime dynastique par des électrons psychiatriques, abusivement présentés comme des musulmans.
Aucun musulman authentique ne pratique le massacre, qui plus est en plein mois saint de leur Ramadan. À qui profite cette abjecte réactivation de Daesch (terme générique désignant l’instrumentalisation de fanatismes et de guerres intestines locales, par l’axe anglo-américano-sioniste) ?
Dans un article à faire déborder l’urinoir, daté du 9 décembre 2024, Public Sénat évoque l’« ouverture affichée vers les minorités » du fondateur d’El Nosra : « al-Joulani a assuré qu’il ne souhaitait pas ostraciser de nouveau certaines communautés. » Et à moi, le Père Noël a promis une défiscalisation de 100% sur 15 ans.
Ce renégat au cervelas ramonné par les services nettoie sur ordre le pays de ses scories assadistes et de sa minorité religieuse multi-millénaire, afin de provoquer une instabilité civile de nature à légitimer l’intervention militaire, puis la main mise coloniale d’Israël sur la Syrie : ce sionisme arabe, certes minoritaire, est incarné par le Libanais Julien Rochedy, qui joue au marquis scandinave poutinophobe, ou par Jean Messiha, marchand de pistaches islamophobe du bazar du Caire. Ces deux Arabes, sionistes déclarés, conjurent par le reniement de soi un complexe d’infériorité débilitant.
Conclusion : L’agent de liaison el Nosra / Daesch Ahmed el Chaara, de son nom de scène Abou Momo el Joulani, a fait massacrer 1300 chrétiens de Syrie, en vue d’avancer l’agenda du grand Israël, dont la première étape serait l’instauration d’un protectorat sioniste sur la Syrie. Pour ce faire, il fallait détruire le paisible multiculturalisme syrien.
Moralité : Bachar, au secours !