Il n’est pas inutile de rappeler ici que cette "journée de la femme" est ignorée par une majorité de femmes. Seules les frustrées, si bien représentées par la regrettée Claire Brétécher, se retrouvent en mode "réunion Tupperware" chez l’une d’entre elles pour papoter de boites (Tupperware ?), de frustrations diverses en rêvant secrètement de rencontrer leur "prince charmant".
L’invention du féminisme relève, il faut le reconnaitre, d’un coup de maître... toujours le même d’ailleurs, le fameux oncle Sam, celui qui nous serine depuis des décennies que leur mode de sous-vie est envié du monde entier.... On s’accroche à ce qu’on peut quand on se prend pour le maître du monde en décomposition.
La féministe est donc une femme en décomposition et les vraies meufs, celles qui ignorent souverainement le blabla de ces hystériques mal ba..... ées, continuent, Dieu merci, de préférer la compagnie des hommes entiers à celle des fiottes que la modernitude gauchiste en putréfaction tente de nous vendre... en vain.
Une féministe, fut-elle "néo", se remarque à ses expressions de frustration perpétuelle. Il y a de la jalousie, du fiel et une certaine laideur chez ces femmes qui n’ont rien trouvé de mieux que de singer l’homme jusqu’à trouver "bien" que des jeunes filles se mutilent juste pour se croire transformées en homme.
Une certaine fin des Temps s’accompagne toujours d’un pourrissement lent mais finalement nécessaire avant un redressement. C’est juste une question de Temps.