C’est quand même incroyable comme Salomé Saqué et ses copines vivent dans un monde parallèle, complètement déconnecté de la réalité :
En 2024, dans les couples hétérosexuels, les femmes continuent de payer un prix élevé, souvent invisible mais bien réel : charge esthétique, contraception, gestion des dépenses, sacrifices professionnels, retraites amoindries, charge mentale et domestique… Même dans les relations qui se veulent égalitaires, les chiffres ne mentent pas : aimer, pour les femmes, coûte cher.
D’abord, elle ne considèrent pas le prix qu’elles font payer aux enfants qu’elles avortent : 200 000 enfants par an depuis la loi Veil. Ce prix est maximum puisque c’est la vie. Et aussi le prix qu’elles font payer aux enfants qu’elles privent de père et de famille en divorçant, des millions d’enfants déchirés par l’égoïsme et le besoin de nouveauté de leurs mères.
Ensuite, elles passent carrément sur l’argent dépensé par les hommes pour elles, des milliards payés par les hommes qui veulent les séduire et les aimer, des milliards d’euros en verres de rosé, dîners, fleurs, cadeaux, vacances, frais d’avocats lors des divorces, pensions alimentaires après les divorces, etc.
Saqué a effectivement un visage qui ne respire plus la santé, le passage de l’adolescence à l’âge adulte n’est pas si facile, mais pourtant elle se gave de tout (sauf de bonheur) comme ses copines. Elles se goinfrent dès l’école, puis la télévision, internet, la presse et la société tout entière les gavent de narcissisme, d’égoïsme, de victimisation, à s’en faire péter la ceinture. Et malgré le fait qu’elles sont devenues les reines du monde, elles continuent de se plaindre et de pleurnicher...
Autrefois, les pères mettaient une limite à leurs désirs et frustrations infinis, c’est pour ça qu’elles en veulent tant au "patriarcat", mais aujourd’hui, il n’y a pas plus de limite... Elles veulent tout et elles prennent tout... et pourtant ce n’est jamais assez. Elles veulent tout consommer, elles ne supportent pas que quoi que ce soit puisse échapper à leur fringale de consommation.
Et là, Saqué et ses copines immatures se plaignent encore qu’elles n’ont pas assez, elles en veulent plus, c’est toujours la même plainte, donnez-nous de l’argent, plus d’argent... Elles ne pensent qu’à l’argent. C’est des sales gamines qui font une crise parce que la voiture offerte par leurs parents n’est pas de la bonne couleur...