Il est évident que les personnes d’origine maghrébine, musulmane caucasienne ou subsaharienne ne participeraient pas à un conflit contre la Russie si elles y étaient contraintes.

Leur attachement à l’Occident semble souvent limité à des considérations économiques, et non à un engagement profond envers les valeurs ou les devoirs des pays qui les accueillent.

Cette réalité soulève des questions légitimes sur leur intégration et leur loyauté.

Si ces individus ne sont pas prêts à défendre les nations où ils vivent et dont ils profitent économiquement, ne serait-ce pas un argument en faveur d’une politique de remigration ?