Les déboires de Molard et StreetPress, délogés par des migrants
6 mars 22:53, par Iris
Il ne croit rien de ce qu’il raconte, suffit de l’écouter et de le regarder pour comprendre qu’il ne traîne certainement pas avec des Mamadou ou des Mohamed. Ce qu’il dit ne vise qu’à s’aligner sur le groupe auquel il appartient et qui lui permet d’avoir une vie sociale.