Bourdin a toujours été un faux dur : fort avec les faibles, faible avec les forts. Son peu de crédibilité est systématiquement mis en scène.
Il a beau jeu de mettre en difficulté des politiques dont il sait que ce ne sont que des fusibles, d’humilier des ministres dont tout le monde sait déjà qu’ils sont incompétents, quand ses chefs lui disent "c’est bon, lui c’est le moment de le faire sauter : voilà tous les éléments pour le faire"...
Pour se faire ensuite passer pour le champion de l’interview politique sans concession ! Un pur fumiste.
Et ça passera sûrement pour une réflexion bas de plafond, mais on peut en apprendre beaucoup sur un homme en observant sa femme...et Anne Nivat, la femme de Bourdin, est du même tonneau : une fausse reporter de guerre qui passe son temps à se faire passer pour courageuse, et à gueuler comme une harpie pour qu’on la respecte.
Sa femme n’a aucune empathie, se prend pour une sommité, et ça se voit que Bourdon ferme sa gueule face à cette rombière, (et se rattrape minablement de ce mariage sans amour en harcelant les petites stagiaires de la compta...)
Rima Hassan a quant à elle la classe, et même la grâce qu’Anne Nivat rêverait d’avoir.
Les faux-semblants et la fausse virilité, c’est fini Jean-Jacques : tu es et as toujours été un soumis, et un sans couilles.