Jordan Bardella, babtou fragile du nationalisme
22 février 16:51, par GERARD R.
Faut aussi avoir la lucidité d’admettre que si le QI de Bardella, pouvait faire de l’ombre, à celui de Ririne, elle ne l’aurait pas placé, en bon homme de paille, à la "présidence" du bidule...
Reste le côté beau gosse, même sans charisme, le truc grâce auquel on fait se planter l’électorat français, comme d’autres, depuis perpète !