C’est surtout que ces coups de com sont d’une bêtise et d’une laideur. Plus personne ne réfléchit, ne s’interroge. Ça devient une espèce de réflexe, c’est forcément "bien". C’est comme le père Noël , les cadeaux, et toute cette niaiserie libérale au sujet du "bonheur".
Franchement l’ère matérialiste est à chier, elle salit tout ce qu’elle touche.
T’as un gamin qui est malade, qu’est ce que ça fout de l’emmener en jet, ou de lui offrir une heure sur un circuit avec une porsche. Quelle vacuité. Quelle confirmation du néant de l’existence, et de notre horreur de la simplicité.
Mais tout le monde devient lâche et débile dès que ça concerne un handicapé. Un jour je vais m’en farcir un, du genre de ceux qui pensent que s’amener en fauteuil dans une boulangerie leur ouvre des droits magiques, qu’ils peuvent passer devant tout le monde parce que quand tu es assis et que tu sens pas tes membres, c’est sûr que c’est fatiguant d’attendre que la petite grand mère, l’ouvrier de chantier, ou même le cadre sup qui finance tes aides sociales paie son pain avant toi, selon l’ordre d’arrivée. Je sais qu’il faudra forcément jouer du bâton auprès des moutons lâches qui ne perdent pas une occasion de ramper devant le politiquement correct, peut-être même le patron peureux de la boulangerie, mais c’est d’utilité publique.
C’est comme faire lire l’évangile à une trisomique, ou confier la sécurité de Los Angeles à 2 lesbiennes. Il est temps que ces guignolades s’arrêtent avant que tout le monde finisse senile. Hors de question de collaborer à ces conneries.