’’Nous voilà au bout d’un chemin bordé des décombres de 45 années de ’’socialisme’’ comme maladie de l’esprit, mais fond de commerce de la pléthore d’énergumènes qui s’en sont goinfrés jusqu’au délire avec le résultat que l’on sait. Ils ne peuvent toutefois pas lâcher les gamelles et les auges autour desquelles ils montent la garde, derrière lesquelles ils s’abritent de plus en plus étroitement cernés, identifiés, désignés. Il s’agit maintenant de ne pas avoir à assumer ses responsabilités et de s’enfuir avec le fruit de leurs trahisons, de leurs méfaits, de leurs crimes. Mais ils vivent sur une sphère...