Décidément tous ces amis de l’humanité tuent beaucoup de monde ces dernières décennies, ce qui révèle leur véritable nature. La croissance démographique et ’’l’évolution technologique’’, mobilisent de plus en plus d’énergie, contre de plus en plus de victimes. Dominée par les serviteurs des névroses de prédation ; malveillants et malfaiteurs de tous poils, la partie saine de l’humanité qui leur sert de ressource ne parvient qu’à grand peine à subsister et même, lors des massacres de masse qu’ils organisent (en plus de leur impunité), tout simplement à survivre, c’est factuel. Il va bien falloir finir par donner aux choses leurs vrais noms et criminel un criminel, sur la base du principe élémentaire qui détermine que le besoin de domination est juste une névrose, une pathologie, et ses serviteurs des délinquants.