Je ne saurais comment vous remercier pour cet article dont il me tarde de découvrir la seconde (ou deuxième ?) partie.
Il me semble que la question des cathédrale est centrale ici. L’érection des ces chef-d’oeuvres d’architecture ne peuvent résulter d’une pratique du monde telle que recommandée, que dis-je, professée par l’Eglise...
Votre article a mit fin, en moi, à ce que je pensais être une dissonance cognitive. Maintenant, je comprends que l’on puisse lire les Évangiles et Sénèque dans le même temps, sans s’étonner de pouvoir établir des ponts philosophiques, voire même spirituels entre les deux.
Quant aux miracles, ne peut-on tout simplement pas se poser la question suivante : ne sont-ils pas les effets d’une manipulation des lois de la nature que nous ne connaissons, et donc ne pouvons répliquer encore ? Car reste la question du Saint Suaire...
Pardonnez ces naïfs questionnements, et assurez-vous de toute l’admiration et de tout le respect que j’ai pour votre travail.