3) Terre promise
D’un point de vue moral.
La notion de Terre promise est aujourd’hui condamnable pour néo-colonialisme. Comme l’a bien dit Alain Soral, cette Terre Promise n’était pas originellement la terre des ancêtres, mais plutôt une terre où des habitants préexistaient, et les conquérir par la force était justifié par la promesse divine. Cette idée de prendre la terre à d’autres peuples, plutôt que de l’hériter de ses ancêtres, remonte aux origines de l’État d’Israël.
D’un point de vue religieux.
« Ce jour-là, l’Éternel conclut avec Abraham une Alliance, en disant : "J’ai octroyé à ta race ce territoire, depuis le torrent d’Égypte jusqu’au grand fleuve, le fleuve d’Euphrate..." » - Genèse 15:18
« Et Je donnerai à toi et à ta postérité la terre de tes pérégrinations, toute la terre de Canaan, comme possession indéfinie » - Genèse 17:8
La Terre promise est explicitement destinée à la race et à la postérité, c’est à dire aux descendants des Hébreux, c’est à dire comme explicité au 2), aux Palestiniens.
Force et honneur !