Dieu jaloux, peuple élu, terre promise : on n’y croit plus, c’est terminé !
16 février 16:36, par Jojoyoyo
Un bon article même si certains seraient sujets à discussions.
je rebondirai sur cette phrase
« Mais – je le répéterai toujours – nous garderons le Jésus historique, figure héroïque du combat contre Israël : Jésus est le Palestinien »
l’auteur nous propose ici de ne garder que Jesus l’humain alors que justement sa divinité s’exprime par l’universalité et l’intemporalité de son histoire.
ce qui est enseigné dans l’histoire de Jesus ne concerne pas qu’Israël et les juifs et les chrétiens et les musulmans, et ne date pas d’hier existe d’aujourd’hui et sera encore là demain.
c’est aussi cela qui nous fait comprendre pourquoi il est « le verbe fait chair ».
Ce qui m’amène aussi à fournir ce commentaire sur l’élection divine du peuple Israël :
cette élection (qui s’inscrit dans la domination finale du peuple juif sur le reste du monde mais aussi sur la fin de cette domination par une victoire armée musulmane dont Jesus est le chef
2 choses qui seraient su par Jesus de son vivant étant donné sa nature divine)
est rendue parfaitement caduque par la proposition individualiste de Jesus.
il vient juger les vivants et les morts, pas les peuples ou les communautés religieuses.