Pour moi, envisager un changement radical signifie remettre en cause un système économique verrouillé par le consumérisme et la production de masse. Par exemple, encourager la création d’entreprises d’économie circulaire – comme des ateliers de réparation, des coopératives alimentaires locales et des startups de recyclage – permettrait non seulement de limiter les déchets et la pollution, mais aussi de favoriser des circuits courts qui respectent la santé et l’environnement.