20 janvier 2025 : cérémonie d’investiture de Donald Trump
21 janvier 11:11, par SinabilLe peuple américain a élu un représentant déterminé à reprendre les clés de la baraque pour faire de lui à nouveau un propriétaire de plein droit, et plus un locataire ruiné avec un bail précaire et un crédit révolving sous la coupe d’un état fédéral au service de l’oligarchie nomade mondialiste qui considère l’Amérique comme un « bien meuble »...vu de France, et même d’Europe, ça fait rêver.
Et la pandémie de descentes d’organes provoquée par le retour de Trump chez les mignons et les valets de l’oligarchie mondialiste, c’est comme de la chantilly sur les hémorroïdes souverainistes.
La révocation du droit de naissance, dans un pays de colons revendiqués et assumés qui ont toujours 800 bases militaire pour étendre leur « droit du sol américain » partout dans le monde, qui s’est constitué par le nettoyage ethnique, le génocide et l’esclavage, et qui s’est construit sur la ségrégation raciale et économique, et par l’importation régulière de Lumpenprolétariat, avec comme « accélérateur d’achat » du rêve américain le mirage de devenir riche ou américain (ce qui revient au même selon le marketing yankee), est une sacrée plaisanterie.
S’il y a un pays au monde qui n’a aucun droit de parler de « droit du sol » c’est bien l’Amérique, et incidemment sa métastase du Proche Orient.
Le retour de la souveraineté territoriale avec le contrôle des frontières c’est un exemple à suivre en Europe, j’ai hâte de voir comment les médias de l’occident collectif vont neutraliser cet appel d‘air souverainiste.
Affranchir les USA de la tutelle de l’OMS et de l’escrologie suicidaire de Paris c’est bien, mais à condition de soutenir les dominion de l’hegemon américain dans cette voie de l’affranchissement du totalitarisme supranational imposé par l’oligarchie mondialiste.
A noter : la proposition d’annexer le Canada et le Groenland et de rebaptiser le golf du Mexique fait penser au projet de Joshua Norman Haldeman qui voulait fusionner le Canada, les USA, le Mexique et le Groenland pour constituer un ensemble économique géré par des technocrates dans un système de « technocratie totalitaire bienveillante » seul régime selon lui capable de protéger le bien commun des appétits communautaires et des égoïsmes particuliers, et de focaliser l’usage du pouvoir sur l’intérêt de la nation.
C’est drôle de voir cette idée resurgir dans les propositions de Trump, concomitamment avec l’arrivée aux affaires du pouvoir de son petit-fils Elon Musk.