Je préfère un curé qui assume de temps en temps son commerce avec les femmes ou l’une d’entre elles, que ce clergé hypocrite sexuellement refoulé, tel le personnage de l’archidiacre Claude Frollo créé par Victor Hugo dans son roman Notre-Dame de Paris. C’est au contact et de la fréquentation de la femme qui l’on devient aussi un homme. Pas en abuser aux sens propre et figuré. Cela dit, tout reste à prouver quant aux faits relatés. Quant à ces témoignages bien tardifs de femmes ou jeunes femmes soi-disant abusées, elles ne font pas honneur à la gent féminine, mère, grand-mère, ni arrière-grand-mère autrement dit à leur lignée familiale. Une femme devrait être honorée qu’un homme s’intéresse à elle et pas que pour la bagatelle. Des prostituées de haute voltige expérimentées, vous le diront. Tout ça reste dans le secret des dieux, sinon de Dieu, notre PÈRE à tous. Le bordel n’est pas là où l’on pense... La chasteté est un Don divin. Les grands saints y sont parvenus par des épreuves des différents yoga car la Grande Mère
vit en eux, la sainte et Vierge. Mais c’est toujours sous le regard, la bienveillance et la compassion d’une femme que le grand saint y parvient, puisque celle-ci est devenue sa sœur d’âme. Lui ayant épousé sa Dame intérieure, sa d’âme... Rappelez-vous Dante et Béatrice ... Comprenne qui peut ! Les impies qui salissent la mémoire de l’abbé Pierre et en plus pour des motifs de prédation économique, devront le payer très cher à trépas. Je me souviens encore petit, vers l’âge de 2 ans en 1955, être allé avec mes parents à la soupe populaire parce que mon père, immigré kabyle n’avait pas trouvé de boulot où nous habitions. Il nous a quitté ma mère et moi, quelques temps, pour aller travailler dans les mines dans le Nord de la France. L’abbé Pierre a fait énormément durant l’hiver 54. Beaucoup de ministres devraient en prendre de la graine, notamment notre premier actuel. Il y a un gouffre entre la France sacrée et la république profane, laquelle dernière est le siège d’une profanation permanente : le Christ le lui rappelera en temps venus, qu’à cela ne tienne.