@ Nakhuda, il n’y plus de survivants, mais comme pour "les autres" il y a des enfants et des petits enfants (dont je fais partie) qui ont eu les récits des membres de leur famille. Pour ma part j’en ai connu deux, des gaillards du genre s’ils te mettent une gifle et qu’ils te ratent t’es enrhumé pendent trois semaines, c’est peut-être pour ça qu’ils ont survécu par ailleurs, car ils en ont vu des et copains partir bouffer les pissenlits par les racines (pour ceux qui ont eu la chance d’être enterrés). Au retour des camps de travail tous les deux n’étaient plus que des sacs d’os et leur santé dégradée à jamais, mais tout cela semble echapper à certains ; n’est ce pas . . .