L’air bête de l’héroïne évoque irrésistiblement Sardine Ruisseau.
Comme cette dernière, elle a été payée à faire l’oie, mais moins payée que Sardine qui y laisse sa réputation. C’est du psy-op pas très subtil : il s’agit de populariser la Française dans le monde comme une femme idiote (Sardine) greluche (nombreux exemples) pas méfiante mais narcissique qui se croit intéressante sans raison, comme cette décoratrice oisive.
La Française sera vue comme une oiselle oiseuse à l’instar des groupies de Hanouna, elle sera présentée comme une victime de viol en réunion à 60 piges, incapable de se défendre, ou comme une invertie ballonnée à cheveux bleus, ou comme une bas-bleu babillarde à la Fourest, etc.
Une femme niaisement passive bonne à se faire avoir, ou au contraire hyper-agressive, attaquant à coups de langue sans le moindre risque d’égratignure...
Nous savons que les Françaises qui nous entourent ne sont pas comme ça. Mais le monde voit et entend ces psy-ops. Et se lance à l’assaut en ricanant.
Notre image en prend un sacré coup. Et notre temps aussi.