En tant que Français attaché à l’héritage chrétien de notre civilisation, je ne peux que dénoncer avec la plus grande fermeté ces manœuvres qui salissent l’honneur de la France et trahissent son histoire. Comment en sommes-nous arrivés là, à voir nos dirigeants, incapables de gérer les crises internes de notre nation, s’enfoncer dans des complots étrangers dignes des heures les plus sombres de l’impérialisme cynique ? L’Algérie, une nation souveraine qui a payé le prix fort pour son indépendance, devient aujourd’hui la cible d’intrigues qui n’ont rien à voir avec l’intérêt des Français, ni même avec les valeurs de justice et de paix qui devraient guider une grande nation comme la nôtre. Cette collusion entre la DGSE, le Mossad et le Maroc est une honte pour la France. Au lieu de chercher à bâtir des ponts avec l’Algérie, notre voisin méditerranéen avec lequel nous partageons une histoire commune, certains préfèrent raviver de vieilles rancunes pour des intérêts qui servent avant tout des puissances étrangères. Le rapprochement stratégique entre Rabat et Israël montre bien que le Maroc est devenu un pion dans une partie d’échecs où l’Europe risque d’être la grande perdante. En tant que chrétien, je ne peux accepter que mon pays se rende complice d’un projet qui bafoue non seulement la souveraineté des nations, mais aussi la dignité des peuples. La France, autrefois phare des valeurs universelles, se fourvoie dans des intrigues qui rappellent les pires errements d’un colonialisme dépassé. Pourtant, c’est cette même France qui devrait aujourd’hui incarner un modèle de réconciliation et de coopération avec ses voisins du Sud, au lieu de suivre aveuglément des agendas dictés par d’autres. Je salue la résistance du peuple algérien face à ces manœuvres. C’est une leçon d’honneur et de courage dont nous devrions nous inspirer, nous qui avons trop souvent oublié ce que signifient réellement les mots « liberté » et « souveraineté ». Une France fidèle à son histoire et à ses racines chrétiennes devrait se ranger du côté de la justice, et non pas du complot et de l’ingérence.