Raccourcis, amalgame, mauvaise foi : Libération accuse Soral d’appeler à la lutte armée
27 novembre 2024 18:49, par ProtégeonslaPalestineDans la série le dispensaire de brousse se moque de la charité, mention spéciale à Libération, torche-cul soixante- huitard qui, 30 années durant, a fait l’apologie de la sodomie sur enfants et de l’exploitation sexuelle des mineurs par des adultes :
à la pointe de revendications sociétales nées dans la mouvance libertaire, sur la sexualisation des enfants, Libération s’est fait le chantre de la pénétration heureuse des tout-petits par des bien plus gros : visqueux, amoral, sadique, et ouvertement pervers, ce gang d’amateurs de Pampers, de garçonnets et de fillettes non nubiles, aura contribué, la fleur au gland, à décomplexer le pédocrime, à l’exhumer de sa coupable clandestinité, à lui insuffler un chic avant-gardiste et anti-bourgeois.
Sous couvert d’échapper à l’asphyxie d’une hétéronormanité slérosante, Libé a allègrement proposé « l’enfant [comme] un nouveau continent à explorer », pour paraphraser Jack Lang, bienfaiteur de l’intégrité corporelle des innocents : il fallait déconstruire la famille, cette structure carcérale qui entravait la jouissance de l’enfant.
Tribunes exaltées en défense de violeurs d’enfants condamnés, petites annonces proposant de dilater des gosses, siège social officiel de la charte du Front de Libération des Pédophiles, rédigée par des sybarites et des détraqués, promoteur enfiévré de la dépénalisation de la pénétration des enfants par des adultes, Libération est ce journal de la honte qui tente, via la diabolisation de Alain Soral, logicien de génie, écrivain visionnaire et éminemment moral, de se racheter une virginité, de faire oublier le caractère criminel de sa ligne éditoriale passée.
Combien d’enfants ont été abusés par leurs journalistes et par des citoyens, galvanisés par la rhétorique licencieuse et permissive de ce torche-cul ? C’est sans vergogne aucune que Libération ose le culot diffamatoire, pour occulter son embarrassante obsession de la couche-culotte : transférer ses propres bas instincts sur un homme politique non élu, relève de l’abjection.
Non, Alain Soral n’a jamais invité au coup d’État. Libé, lui, a néanmoins soutenu une levée d’armes, celle du pénis, sur le corps des enfants. Ces immondices ont échappé à la dissolution pour apologie de corruption et d’abus de mineurs, alors qu’ils cessent toute transposition sur Soral : ils n’ont rien à objecter à son travail didactique.