Alexis Cossette, ainsi que Sylvain Ferreira, "historien militaire et spécialiste du conflit en Ukraine", récemment interrogé par Asselineau, voient ces signes comme un langage militaire entendu entre les 2 partis avant la paix à venir, une "chorégraphie" prévue en coulisse : nous avons gagné, mais nous vous laissons garder la face en bombant le torse médiatiquement, avec vos annonces et vos missiles bons pour les images, mais sans impacts sur le terrain.
Contrairement à la première impression qu’on pourrait se faire, ce serait une espèce d’atterrissage en douceur, un sas de décompression pour les faucons et ceux qui auront vécu cette guerre dans leur chair ou dans leur tête.