Cette séquence médiatique permet encore plus de mesurer l’hallucinante soumission des journaleux officiels à la doxa qu’on leur a vraisemblablement demandé d’entretenir.
Ce qui ne cesse d’étonner c’est qu’en dépit de l’effondrement, lent, certes, mais de plus en plus pertinent, du Grand Récit Hollocaustique censé garantir la légitimité des exactions du fou furieux Bibi, nos petits vassaux merdiatiques français continuent à défendre l’horreur qui se poursuit à Gaza (et ailleurs) sous nos yeux effarés.
Là où le doute devrait être admis, voire de mise, l’on assiste à un mur de résistance dogmatique qui relève du déni. Mais que leur a-t-on promis en échange d’une telle négation ?
Leur emploi est-il finalement totalement lié à leur mission de relai permanent d’un état israëlien qui aurait absolument TOUS les droits en termes d’actions punitives, d’extension territoriale sans limite, d’insultes permanentes envers tous ceux qui les interpellent, envers même la CPI ?
Comment est-il possible que celles et ceux qui ont parfaitement pigé que tout cela était l’un des plus gigantesque scandale humain moderne ne trouvent pas en eux la force de changer carrément de métier ? Comment se couche-t-on quand on sent au fond de soi que quelque chose pue la merde mais qu’on valide quand même la gamelle ?
Moi, je l’avoue, ça me dépasse....