Cyrille Eldin, Sandrine Calvayrac et la beauté intérieure
12 novembre 2024 08:33, par Luc
Je ne pense pas qu’il soit financement dans la mouise comme beaucoup.
Quant à elle, elle va traîner ses méchantes névroses longtemps et séduire encore par son seul minois.
Ederlin peut en faire un livre comme Stéphane Guillon, le trublion échaudé...