Folies sionistes (S02E18) : gala des génocidaires le 13 novembre à Paris
7 novembre 2024 22:11, par Mon nom est personne
Plus leur fanatisme s’exprime sans vergogne, plus ils s’exposent au courroux massif du monde et se retrouvent isolés.
Ils n’ont pas compris.
Dans la Liste de Schindler il y a une scène subtile qui témoigne de l’inconscience d’une prisonnière d’un camp de concentration : architecte, elle vient se dresser devant le chef du camp pour lui dire qu’il faut refaire les fondations d’une construction en cours. Le chef ordonne de l’executer. Puis de faire comme elle a dit.
Bien sûr la scène a vocation à montrer la barbarie raciste et haineuse du nazi, face au génie juif opprimé.
Mais une seconde lecture permet aussi de montrer l’inconscience et l’aveuglement de l’architecte qui n’a pas su comprendre qu’elle devait faire profil bas, obéir et s’effacer pour tenter de survivre. Sorte d’ubris complètement déconnecté de la situation réelle dans laquelle elle était.
Ici non seulement les nazis sont joués par les sionistes, mais ils gardent ce même ubris, cette démesure qui fait qu’ils ne savent pas s’arrêter et qu’ils iront jusqu’à la mort, comme leur triste histoire biblique faite de sang, de meurtres, de suicides de masses, de punitions divines qu’ils vont presque chercher parfois avec un élan masochiste, le confirme bien. Continuité pathologique.