Beaucoup semblent se percevoir comme un élément hors système planétaire intégré de force à la Terre à un moment donné de son "existence", comme "choisi" par un être supérieur leur octroyant ce droit et légitimité de se percevoir comme "au-dessus" du reste des êtres vivants et non-vivants.
Ils jugent ainsi doctement de la pollution de l’homme, des maux et malheurs que celui-ci infligerait à la dite Terre... main dans la main avec les globalistes qui, eux, savent pourquoi ils imposent cette nouvelle "idéologie économique".
Nous sommes un élément de la planète, rien de plus, rien de moins. Si nous y vivons et y faisons ce que nous y faisons, c’est parce que le système de notre planète le permet... jusqu’à tant qu’il ne le permette plus.
Je doute fortement que cela ait grand chose à voir avec cette superpuissance que posséderait l’homme, capable de "polluer", "détruire" ou "supprimer" dans une sorte de folie destructrice.
Cette vision du paradis qu’aurait été la planète d’antan et que l’homme souillerait de sa folie, de son goût de la destruction, de sa démesure est si religieusement marquée... même chez ceux qui se considérent comme sans dieu, sans foi ou sans religion...