Les Français parlent aux barbares Meyer Habib et Frédéric Haziza, qui vivent sur notre sol sans avoir appris la décence ni le sens de la dignité humaine, dont voici un exemple :
Un journaliste interroge Jean-Marie Le Pen : « Jadis, en Algérie, vous aviez refusé de jeter à la mer les corps de combattants musulmans et décidé de les enterrer, en respectant les rites de leur religion. D’où vous vient ce respect, bien loin des caricatures souvent outrancières – pour ne pas dire ignobles – que l’on fait de vous ? »
Réponse de Jean-Marie Le Pen : « Je suis un Breton de souche, tant de la mer que de la terre, né dans une famille chrétienne. »
La décence, la vergogne, ce postulat bien français que la dignité de l’autre demeure inaliénable, quelle que soit l’étendue de l’adversité, sont des valeurs qui ont été incarnées il y a 70 ans par Jean-Marie Le Pen. Messieurs Haziza et Habib démontrent qu’ils n’ont ni la stature humaine ni l’envergure morale de l’homme qu’ils accablent, qu’ils festoient sur des cadavres, dansent sur le sang, profanent l’image des défunts.
Ces barbares de l’anti-France rendent obligatoire et salutaire toute critique de l’obscurantisme civilisationnel et de la terreur militaire de l’État sioniste : les comportements orduriers et la jubilation excrémentielle de Habib et Haziza rendent inutile toute loi sanctionnant la critique d’Israël, le tribalisme vulgaire de ces activistes ne faisant qu’alimenter la dégoûtation pour le sionisme et les violations de dignité qu’il célèbre.
Nous avons le droit de nous défendre contre leur culte de la mort et de la haine perpétuelle. Ces gens-là ne sont ni de Dieu ni de la Tradition française.