En vérité le christianisme est l’investigateur de ce qui arrive aujourd’hui : ce qui découle de l’athéisme est une conséquence de siècles de religion chrétienne. D’origine moyen-orientale, elle a imposé, notamment via Paul, des interdits à des peuples Européens païens qui n’étaient ni dégénérés, ni décadents, ni partousards où je ne sais : qu’on m’épargne l’exemple de certains Grecs et Romains "d’en haut", on fornique toujours plus quand le statut social est élevé. La nudité en Europe n’était pas un facteur de décadence sexuelle comme au moyen-orient, chose qui insipira le christianisme dans sa diabolisation.
Une fois que l’athéisme (principalement parce que la science, pas toujours imparfaite, vient aider la raison), prend le dessus, il se passe un effet inverse : les gens n’ont plus de capacité d’abnégation, veulent du "bien-être", jouir, profiter, et geignent comme pas possible. De surcroît quand on voit les nobles dégénérés à Versailles en 1789 (car eux, justement, ressemblaient à ce que Vincent explique quand il parle des masses actuelles), on est en droit de se demander si la révolution n’était pas elle-même issue de la providence, et ça ce n’est pas de moi, mais de de Maistre...