D’un holocauste l’autre : la Palestine, le Liban. L’armée du mal absolu s’obstine.
Le sionisme, barbarie obscurantiste ennemie du genre humain, viole la sacralité de la vie dans des proportions homériques, avec une impudeur et une impunité qui perturbent l’entendement.
Il n’y a pas que le Hezbollah qui meurt, il n’y a pas que des civils désarmés qui trépassent. Cela pourrait sembler dérisoire, mais des milliers d’animaux domestiques et sauvages crèvent eux aussi du sionisme, des femmes font des fausses couches en entendant les bombes, des mariages et des baptêmes sont annulés, les sépultures des ancêtres sont détruites : l’ire d’une Israël prise de démence ravageuse sème la désolation.
Quel accablement que ces gens-là, pour le monde civilisé qui s’est précisément érigé en renonçant à ce type de dévastation cannibale et de prédation territoriale. 3 millénaires de civilisation, pour voir des mangeurs d’hommes et des buveurs de sang en treillis s’ennorgueillir de leur forfait illimité : Tsahal, allégorie mécanique et incarnation technologique du courroux de Netanyahvé, dispose d’une licence de tuer et d’annexer.