• A propos de Yahweh, choisissant lors de l’épisode de la Tour de Babel la dispersion-séparation des peuples, entravant ainsi le tour que prenait leur ascension céleste, il faut noter que Zeus lui aussi est mythiquement chatouilleux quant à cette propension “humaine trop divino-humaine” : cf. Prométhée, Icare, etc., comme si l’intimité et l’humilité étaient le véritable “passeport” pour cette “dive-rencontre”.
• A propos de “La mort féérique, Laurent Guyénot, visiblement en quête de la richesse spirituelle médiévale, affirme qu’alors la pensée écrite était encore rare, étant surtout orale.
En effet, mais elle était aussi sculpturale (également imagée : dans les enluminures, etc.).
Dès lors, une autre “clé de lecture”, plutôt négligée, s’offre à l’analyse.