solidarités familiales, fraternité qui ne s’entend pas ici à l’échelle de la nation moderne, confraternité dans les métiers, confraternité religieuse ou même camaraderie sociale.
"Fraterniser", pour l’individu-marchandise narcissique, c’est faire du petit commerce de réseautage intéressé, y compris au niveau familial (le Père Goriot).
Les "fraternités" corporatistes que vous semblez plébisciter, sont l’extension de cette névrose à chaque enclosure socio-professionnelle spécifique, qui va certes défendre "fraternellement" ses intérêts, mais les faire passer avant le reste.
De là l’émergence de codes, de symboles, de jargons, de tout un folklore indéchiffrable aux yeux des profanes, afin de faire gagner les intérêts de la "fraternité" au détriment des autres.
Les francs-maçons se sentent très fraternels entre eux, la franc-maçonnerie n’étant qu’une dérivation du tribalisme vetero-testamentaire...
Pour avoir vécu en tant qu’ancien gadzarts une de ces fraternités de pacotille, je rejoins le commentaire de @mon avis et resterait plus introspectif tant que mes contemporains ne seront pas mûrs pour la fraternité universelle, c’est-à-dire le communisme radical.