Une femme contre l’hyper indépendance vis-à-vis des hommes
17 septembre 2024 20:51, par Mon nom est personne
Elle a le mérite d’avoir fait de l’introspection, de comprendre qu’il faut savoir laisser entrer le partenaire dans sa vie après avoir réglé ses traumas.
De façon générale on doit essayer d’appréhender la vie par ses propres appréciations : aujourd’hui c’est effarant le suivisme des diktats, tendances ; on singe… le wokisme pour ça est un soft power bulldozer.
Par contre je ne sais pas pour vous mais moi en tant qu’homme dans le couple j’aime pas me sentir forcément ni roi ni pourvoyeur ( t’as voulu le féminisme t’en jouis : tu te démerdes ), j’aime me sentir utile, aimé ( que ce soit pour mon expérience, ma gentillesse, attention, écoute, tendresse, qualité d’amant, soutien affectif, leadership ) et tout ça se passe de fric au centre du sujet.
Ce qu’on a de plus précieux à offrir ne sera jamais l’argent, mais son temps. Le temps ne s’achète pas. A part de façon usurière quand on est salarié… dans les bouchons chaque jour… là j’extrapole.
Maintenant l’indépendance n’est plus vraiment sexuée, ça fait des décennies que les hommes et femmes vivent séparés.
Une forme moderne de relation est de vivre chacun chez soi, et faire couple de façon… aérée. C’est un luxe si c’est possible. Car avec le quotidien usant, la promiscuité, l’ordinaire… vs les réseaux, la vitesse du monde… quelle gageure de vivre claquemurés à deux… faut être honnête, c’est compliqué.