Camille Anguenot, fille monstrueuse du féminisme et du libéralisme
13 septembre 2024 15:33, par Mon nom est personneIl y a quand même un fait qui limite ce pouvoir féminin exacerbé par le libéralisme et le wokisme : c’est la vieillesse. La femme vieillit comme le lait ( en tout cas selon les critères de putasserie via les réseaux ). Et le mur qu’elle se prend dans la tronche quand elle voit que plus personne ne cède à ses caprices, qu’elle est inexistante, fait mal. L’enfer des femmes, c est la vieillesse.
Elles dilapident leur capital naturel de fraîcheur et de beauté dans le bonheur illusoire.
4 anecdotes : - une ex russe prototype de l’aventurière qui m’avait confié qu’elle était déclassée à 32 ans à Monaco face aux petites putes virginales.
une fille qui m’avait dit que sa copine face à un mec qui était déconcentré par un chat pendant leurs ébats, lui avait dit « soit tu bandes soit tu te casses » ( ou l’agressivité utilitariste féminine encouragée par le système : un Delon ou Bond lui aurait de façon préventive mis deux beignes )
une jeune bénévole de 18 ans en discutant avec elle sur son mal être ( elle portait un t shirt « strong girl « alors qu elle était dépressive et anorexique) et ses causes me recrachait son quantique féministo- victimaire, alors que de son propre aveu famille bourgeoise, père qui bosse, fait les courses, parfois le ménage… mais selon elle pas assez la vaisselle… elle revenait d internement psychiatrique 4 mois. Elle s accrochait au malheur qu’on lui avait décrit.
Une connaissance : sa fille ado venait de se faire opérer pour devenir homme ( nichons coupés etc ) aux frais de la princesse, elle me disait que c’est compliqué de parler politique car iel ( ah ah ) objectait toujours les mantras wokes copié collés.
Le pire est que l’autisme, dû à des causes épigénétiques ( pollution, perturbateurs endocriniens, injections ) est une pandémie, urgence de santé publique ( 1 enfant sur 36 aux US, ici a peine moins ) et au lieu d’agir pour ça on finance la mutilation des cerveaux faibles.
Et pour être célibataire sur les appli de rencontre je peux dire que la majorité des femmes sont des putes, monnayent leur attention, sont méprisantes et grossières.
Jadis où la dignité masculine était légale jamais elles ne se seraient permis d’agir ainsi : sans honte ni peur ni pudeur.
Enfin de plus en plus de trans, un je lui demande mais tu as un vagin ou un pénis il me dit « ca importe peu ». Je lui dit si, on peut ne pas être attiré par l un ou l autre encore ou c est transphobe ? ( suis taquin). Blocage. Dans leur tête tout vaut tout.