Quand la République fait mine de redécouvrir St Denis, c’est l’assassin qui revient sur les lieux de son crime.
Il faut répondre à cette VRP de l’enfer, deux choses :
D’une part, dans l’ordre terrestre ou anthropologique, Rome d’avant sa chute en 472, était comme St Denis aujourd’hui, tout sauf romaine. Mais quand Pepin le Bref y retourna pour donner au pape ses états pontificaux, en 754, elle était redevenue (miracukeusement) ce qu’ele avait toujours été : exclusivement latine.
Aussi, il ne faut pas croire que la formule du Christ à Ponce pilate est une parole en l’air ; au contraire c’est un axiome de la vie politique et plus largement de l’Histoire " Ni toi ni César n’auraient aucun pouvoir que Mon Père qui est dans les Cieux ne l’ait voulu ou permis".
Dieu ne permettra pas éternellement que St Denis soit africaine.
D’autre part, le Christ a dit à Pierre "les forces du Mal ne prévaudront pas sur Elle". "Elle", c’est l’Eglise. Mais pas au sens d’Institution comme trop de gens l’entendent. mais au sens de Communauté : la communauté chrétienne subsistera jusqu’à la fin des temps, et donc ses lieux et ses symboles avec elle : St Denis ne sera jamais démmolie, et ND Dame toujours reconstruite.
Donc, ce n’est pas le Christianisme et sa Patrie, la France qui sont temporaires voire provisoires.
C’est leur ennemi, la République.
Qui d’ailleurs se meurt sous nos yeux.
Prions pour les Africains car ils seront les secondes victimes de cette mort inéluctable puisqu’en cours, les premières étant nos martyrs à cause de la République (ou par elle) : Lola et Thomas.
Enfin, pour mesurer tout le fossé qui nous sépare de la criminelle infernale
Marianne, avant qu’elle ne prenne le pouvoir par la force en aout 1792,
l’hymne de la France était Laudate Dominum (lisez ce texte à comparer à la Marseillaise)
Et sa devise depuis Saint Rémi (1500 ans !) : Pro Gloria dei et mundi salutant.
Donc, non Lionel : nous ne mourrons jamais.
Et sous Son Signe nous vaincrons.
Car notre devise est toulours "Pro Gloria..." et notre hymne "Laudate"
Semper fidelis.
Votre humble dévoué,