Cela se savait dès le lendemain de sa mort qu’il avait des contacts
avec la DGSI, il a même été en contact avec son officier traitant
(si c’est comme ça qu’on dit) pendant le siège de son appartement.

La "grande" presse l’a dit tout ça.
La question qui n’a pas été posée,
c’est de savoir jusqu’à quel point la DGSI était au courant
de ses activités, de ses projets.
A quel moment elle est fautive ? (puisque fatalement, elle l’est.)

Et de savoir si il l’on liquidé pour camoufler des dysfonctionnements ?
Parce qu’ils se sont fait doubler ? ou pour cacher autre chose ?
Bref, ce que livre Razy n’est pas un scoop.

On sait aussi que les "services" étaient à la manœuvre pour envoyer
des jeunes gens en Syrie... et quelques temps plus tard, nouveaux attentats.
Quand posera-t’on les vraies questions ?