Jesse Owens : "Hitler ne m’a pas snobé, Roosevelt m’a snobé"
26 juillet 2024 04:52, par Lames d’acierCertains découvrent l’eau chaude ! Ils n’ont pas connu Léon Degrelle ! C’est lui qui a côtoyé dans son intimité le führer national-socialiste ! Tout le monde écrit sur Adolf Hitler sans l’avoir jamais connu ! La supériorité de la race aryenne doit s’analyser comme une tentative de valorisation inconsciente du peuple allemand qui était très culpabilisé par l’hyper inflation qui l’avait conduit à accepter toutes sortes de spoliations de ses biens par des usuriers juifs ,venus d’outre Atlantique, ayant organisé un système de prédation à l’échelle de l’Allemagne. Un peuple de 7 millions d’affamés mis en coupe réglée, menacé de disparition , ayant perdu tout espoir, et qui se sentait dévalué dans son essence même.Son redressement exigeait le rétablissement de la confiance en soi qui ne pût renaître de ses cendres qu’en recourant à une propagande exaltant la supériorité de la race blanche. Il y a une inégalité naturelle des races comme il existe une différence intrinsèque entre chaque individu . On sent bien instinctivement, que chacune a ses qualités propres et qu’aucune ne peut se revendiquer supérieure à une autre . Hitler était un homme qui avait des fulgurances qui saisissaient tout son être et le faisaient entrer dans un forme de transe lui permettant de prendre la bonne décision au quart de seconde. Son problème : il était scientiste et aurait probablement vacciné sa population avec le faux vaccin de Big Pharma. Mais il était capable aussi de discerner ce qui faisait la supériorité d’un champion sur l’athlète allemand qui perdit le 100 m contre Jessie Owens. Hitler était admiratif devant l’exploit réalisé par Owens. Il le reçut à la chancellerie et l’honora d’un discours dithyrambique. Jamais un athlète noir n’avait reçu autant d’honneurs. Owens incarnait le surhomme de l’époque. On ne le répètera jamais assez : le national-socialisme avait des défauts comme toute entreprise humaine. C’est l’égo surdimensionné d’Adolf Hitler qui a fait perdre la guerre à l’Allemagne, en grande partie à cause d’une Angleterre atlantiste hostile à une domination des Germains sur le continent. Hitler a été fidèle à son ami Mussolini quitte à hypothéquer la victoire de l’Allemagne. Le national-socialisme a fait naître tellement d’espoirs chez le peuple allemand qu’aujourd’hui encore il est perçu par la banque comme le système économique le plus dangereux pour le libéralisme.