La candidate in petto est présentée mensongèrement. Jolie, vraiment pas : un petit pot à tabac avec une grosse bouche angoissante d’homme ou de cannibale.
Jeune, encore moins. Elle a la soixantaine, je crois.
Noire, certainement pas. L’héritage noir doit être au maximum de 30 pour cent. Du reste les noirs américains ne la reconnaissent pas comme noire, avec ses cinquante pour cent de gènes asiatiques ! L’inverse des noirs américains, qui eux sont blancs à trente pour cent environ, noirs aux deux tiers. Elle n’a même pas les cheveux crépus.
Indienne ? Tamoule, une ethnie indienne kalergisée, dont la langue parlée est bourrée de mots étrangers. Zanti, par exemple, vient de gentil, en français et signifie pas méchant ou peut-être aussi un peu naze de bonnasserie, comme le sont devenus les Français. Un tiers des locuteurs tamoul vit à l’étranger.
Est-elle même une femme ? On dit qu’elle est trans, mais bon, admettons.
Femme politique ? Promo canapé, autant dire rien de politique au sens grec, à part, au sens actuel, les énormes dents qui rayent le plancher.
Américaine ? Ni ceci ni cela, issue d’ethnies mondialisées et plus ou moins nomadisantes, accrochées pour leur survie à d’autres pays que le sud de l’Inde dont elles viennent ou d’une île connue pour ses musiques, sans plus. Un mix plutôt repoussant au physique, en tout cas instable et sans morale entre une ethnie à culture asiatique assez réservée (Inde) et une Jamaïque extravertie, voire bruyante, voire vulgaire, le toiut accommodé à la sauce macdo, au wokisme idiot et à la sous-culture call-girl à gros rire qui ranime les vieux tordus.
Est-elle folle ? Pas vraiment, elle est bien trop satisfaite d’elle-même. Mais insupportable et peu intelligente, certes. Dépourvue de toute sensibilité.
Elle est utilisée à quelque chose et sera éliminée le moment venue, je pense, comme la soubrette ou portière qu’elle est.