Thierry Breton est l’archétype du stato-financier.
Ce technocrate navigue dans la frange des 0,1 % de la population constitué par les énarques exerçant le pouvoir sur l’argent et le politique. Une carrière menée tambour battant entre le privé et le public caractérise ce type d’individus que sont les inspecteurs des finances dont la fonction consiste à piller le peuple en faisant en sorte de restreindre l’utilisation de l’argent destiné au bien public tout en s’enrichissant grassement personnellement.
Invisibles dans les statistiques (0,1 %, ça ne laisse pas de trace), ils ramassent des fortunes conséquentes sur le dos des entreprises qu’ils dirigent avec l’assentiment des fonctionnaires chargés de les contrôler mais qui leurs sont en réalité subordonnés.
Commissaire européen, Thierry Breton va plus loin : il concentre à lui tout seul le contrôle sur l’Europe, c’est à dire des lobbys privés, des intérêts de Washington, des fonctionnaires chargés de la régulation à l’échelle du continent et des journalistes réduits à être les larbins du mondialisme européen.
Thierry Breton est une catégorie sociale à lui tout seul en mettant en œuvre à l’échelle de l’Europe la dérive française.
Son rôle de censeur de l’Internet lui va comme un gant. Lui ne risque pas d’être renversé par aucun parlement, il n’a de comptes à rendre qu’à lui-même.
Elle est pas belle la vie !