Par contre, la vraie problématique, si peu soulevée, est celle de la définition même du dopage (mental, technologique, diététique, pharmacologique, génique….) et du coaching illicite : où commence-t-il ? à quel moment le considére-t-on injuste ? C’est surtout le « petit temps d’avance » avant que tout le monde s’y mette qui disqualifie les moins bien dopés du moment. C’est cette « supériorité transitoire » qui avantage nettement le compétiteur moyen. Certains disent que les qualités intrinsèques finissent par faire la différence lorsque tout le monde est dopé, alors qui condamner ?