Viol d’une fille de 12 ans par 3 racailles : Julien Dray botte en touche LFI
23 juin 2024 12:44, par PMJLLDe nos jours les mots "viol", "agression sexuelle", "pédophilie", n’apportent plu aucune information publique sur les faits véritables, mise à part l’existence d’une infraction relevée par la Justice, qui a alors beau jeu, à l’abri des regards, de statuer seule sans contrôle de l’opinion publique, ni du bon sens commun.
J’ai eu dernièrement le cas d’une homme, blanc, bourgeois, très diplômé, de 70 ans qui a fait 4 mois de prison ferme dans un endroit très dur (Metz-Queuleu) pour avoir prétendument asséné une tape amicale sur l’arrière du jean d’un jeune homme (17 ans et 11 mois lors des faits) de ses amis qui descendait de sa voiture.
L’enquête initiale, conduite à charge exclusive, portait sur l’examen minutieux de 40 ans de la vie du mis en cause. Des dizaines de témoins mineurs et majeurs ont été entendus. Une expertise informatique ultra-coûteuse (70 000 E) a été faite sur ses ordinateurs. Finalement dans la précipitation d’une fin de garde à vue de 48 h, l’incarcération du vieux mâle blanc a été décidée pour agression sexuelle sur mineur (la tape sur l’arrière du jean, finalement seul élément concret trouvé et jugé crédible par déclaration du jeune). Quelques mois plus tard, le même jeune (immigré africain) a spontanément retémoigné que sa déclaration initiale était destinée à satisfaire une enquêtrice impatiente de trouver des "faits", mais qu’il a complètement inventé et n’a dit ça que pour finir plus vite sa déposition forcée et plaire à l’enquêtrice qui semblait écrire un "roman" (ce sont ses termes) sur ce monsieur, pourtant sympathique.
Voilà donc un exemple "d’agression sexuelle" caractérisée selon le nouveau vocabulaire judiciaire, nécessitant 4 mois de prison, "pour éviter une éventuelle pression sur les témoins".
Les bons vieux viols, cul nu, avec pénétration et déchirure de membranes ont la même dénomination : agression sexuelle.
Le black-out judiciaire sur les faits réels, qu’ils soient épouvantables ou très anodins est précisément ce qui alimente les ragots non vérifiés et la circulation anarchique de détails sordides.
Les rapports médicaux DEVRAIENT être PUBLICS quand on veut faire d’une affaire publique une affaire d’ETAT qui implique donc tous les citoyens.
Sans rien savoir de cette petite juive "violée", je parierais volontiers qu’elle n’a pas subi qu’une déculottée ludique (son ex-petit ami y participait et connaissait donc déjà les "lieux") avec photo de ses parties intimes, au pire.