Finale Cannes 2024 : trans latino ou déesse sexiste ?
27 mai 2024 14:22, par Autour du dolmen
La mise en avant, à des fins de division, de la minuscule communauté trans, me ramène toujours à l’image de Baphomet.
Visage barbu, seins nus féminins et zone tropicale dissimulée. Yoni ou linga ? Comme dans une pochette-surprise, il va falloir ouvrir le cornet pour savoir. Mais loin de nos enfants. Très loin.
Notre identité biologique heureuse ou malheureuse, est incontournable. Je conçois que la dysphorie de genre soit un souci et je le respecte. De là à construire une société autour d’un diagnostic psychiatrique, il y a un pas que je franchirai pas.
A l’instar des buveurs de Budweiser, les cinéphiles boudent la propagande LGBTQ. Ou comment se prendre les pieds dans le tapis rouge.
Fin du festival !
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